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Un roman addictif dont Indridason a le secret !
Une veuve trouve un vieux pistolet dans les affaires de son mari et l'apporte à la police. Il aurait été utilisé pour un meurtre resté non résolu pendant de nombreuses années. Konrad, un détective à la retraite, s'intéresse alors à cette affaire lorsqu'il se souvient que son père, un homme dangereux et malhonnête, assassiné par un inconnu, possédait une arme similaire. Contraint d'affronter seul les traumas de son passé, Konrad mène l'enquête. Jusqu'où sera-t-il capable d'aller pour découvrir la vérité ?
« Glaçant et captivant à souhait ! » Ouest-France -
«Même en plein soleil nous abritons en nous des vallées de ténèbres. Est-ce le prix à payer pour être humain ?»Égaré dans les fjords loin de Reykjavik, un homme a perdu la mémoire. Dans le village où il s'est arrêté, tous semblent pourtant le connaître. Petit à petit, les récits qui lui sont faits le plongent dans la grande histoire d'une famille. Du XIX? siècle à aujourd'hui, chaque destin est comme une tentative d'échapper à l'immuabilité de la vie islandaise. Un pasteur bouleversé par les lettres d'une inconnue, un fermier qui veut quitter sa terre pour faire des études, des amoureux qui ne peuvent vivre leur passion au grand jour... À travers ce puzzle romanesque extraordinaire, l'homme poursuit sa quête : qui est-il ? Et qui sommes-nous ? Comment aimer, comment mourir ?
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Alba voyage aux quatre coins du monde pour des colloques sur les langues en voie d'extinction. De retour à Reykjavík, elle fait le compte : pour compenser son empreinte carbone, il lui faudrait planter 5 600 arbres. Ni une ni deux, elle repère un terrain de roche, de lave et de sable avec une petite maison. Rien n'est censé pousser là mais Alba y projette déjà une colonie de bouleaux.
Peu à peu, Alba apprivoise son jardin d'Éden. Elle s'équipe au rayon bricolage de la boulangerie, prête l'oreille à son voisin qui lutte contre un projet d'usine à glaçons, et s'attache à un jeune réfugié prêt à absorber tout le dictionnaire...
Ode au pouvoir infini des mots, Éden explore notre faculté à déjouer les paradoxes de l'existence, à nous réinventer. Un régal d'humour et d'humanité. -
Au XVIIIe siècle, le roi du Danemark Christian VII, écarté du pouvoir, traîne sa mélancolie et son ennui. Jusqu'au jour où il rencontre un horloger islandais auquel a été confié le délicat travail de reconstruire une horloge astronomique de la Renaissance. Une amitié insolite se noue entre les deux hommes qui n'avaient pourtant rien en commun. Elle pourrait aussi révéler au souverain la véritable situation de l'Islande, alors colonie danoise...
Arnaldur Indridason, né à Reykjavík en 1961, est sans conteste le maître du polar islandais. Auteur de plusieurs séries à succès traduites dans le monde entier, il excelle aussi dans le roman historique. Tous ses romans sont disponibles chez Points. -
« Certains mots sont probablement aptes à changer le monde, ils ont le pouvoir de nous consoleret de sécher nos larmes. Certains mots sont des balles de fusil, d'autres des notes de violon. Certains sont capables de faire fondre la glace qui nous enserre le coeur et il est même possible de les dépêcher comme des cohortes de sauveteurs quand les jours sont contraires ». Parfois à cause des mots, on meurt de froid. Comme pour Barour, pêcheur à la morue islandais, il y a un siècle. Trop occupé à retenir des vers du Paradis Perdu de Milton, il oublie sa vareuse en partant en mer. De retour sur la terre ferme, son meilleur ami entame un périlleux voyage pour rendre à son propriétaire le livre funeste. Pour savoir aussi s'il veut continuer à vivre. Entre ciel et terre, d'une force hypnotique, nous offre une de ces lectures trop rares dont on ne sort pas indemne. Une révélation...
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Islande, 1963. Hekla, vingt et un ans, quitte la ferme de ses parents et prend le car pour Reykjavík. Il est temps d'accomplir son destin : elle sera écrivain. Sauf qu'à la capitale, on la verrait plutôt briguer le titre de Miss Islande.
Avec son prénom de volcan, Hekla bouillonne d'énergie créatrice, entraînant avec elle Ísey, l'amie d'enfance qui s'évade par les mots - ceux qu'on dit et ceux qu'on ne dit pas -, et son cher Jón John, qui rêve de stylisme entre deux campagnes de pêche...
Miss Islande est le roman, féministe et insolent, de ces pionniers qui ne tiennent pas dans les cases. Un magnifique roman sur la liberté, la création et l'accomplissement. -
Dans une vieille maison, une paroi de la cave s'effondre et révèle un corps emmuré. Cette découverte macabre se mêle aux recherches inlassables de Konrad pour faire la lumière sur l'assassinat de son père. Pressant la police d'enquêter, ce dernier oublie ses mensonges de l'époque et se retrouve inculpé. Faut-il croire les fantômes du passé ? La vérité est-elle seulement souhaitable ? Entre violence familiale, sacrifices et impunité, les cold cases ressurgissent toujours...
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«Le monde déborde de rêves qui jamais n'adviennent, ils s'évaporent et vont se poser telles des gouttes de rosée sur la voûte céleste et la nuit les change en étoiles.»Dans un petit village des fjords de l'Ouest, les étés sont courts. Les habitants se croisent au bureau de poste, à la coopérative agricole, lors des bals. Chacun participe à cette ronde de rêves et de désirs qui forment la vie. Mais leur quotidien bien ordonné se dérègle parfois:le retour d'un ancien amant qu'on croyait parti pour toujours, l'attraction des astres ou un chignon de cheveux roux - il suffit de peu pour faire basculer un destin...
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Reykjavik, au début des années 50. Sigvaldi et Helga décident de nommer leur deuxième fille Ásta, d'après une grande héroïne de la littérature islandaise. Un prénom signifiant - à une lettre près - amour en islandais qui ne peut que porter chance à leur fille. Des années plus tard, Sigvaldi tombe d'une échelle et se remémore toute son existence :
Il n'a pas été un père à la hauteur, et la vie d'Ásta n'a pas tenu cette promesse de bonheur.
Jón Kalman Stefánsson enjambe les époques et les pays pour nous raconter l'urgence autant que l'impossibilité d'aimer, à travers les destins de Sigvaldi et Helga, puis d'Ásta et Jósef. Un superbe roman, lyrique et charnel, sur des vies qui s'enlisent malgré notre inlassable quête du bonheur.
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« Maintenant, il ferait bon dormir jusqu'à ce que les rêves deviennent un ciel, un ciel calme et sans vent où quelques plumes d'ange virevoltent doucement, où il n'y a rien que la félicité de celui qui vit dans l'ignorance de soi.» Lorsque Jens le Postier arrive au village, gelé, il est accueilli par Helga et le gamin qui le détachent de sa monture avec laquelle il ne forme plus qu'un énorme glaçon. Sa prochaine tournée doit le mener vers les dangereux fjords du nord qu'il ne pourra affronter sans l'assistance d'un habitué des sorties en mer. De son côté, le gamin poursuit sa découverte de la poésie et prend peu à peu conscience de son corps, des femmes, et de ses désirs. C'est lui qu'on envoie dans cet enfer blanc, «là où l'Islande prend fin pour laisser place à l'éternel hiver», y accompagner Jens dans son périple. Malgré leur différence d'âge, leurs caractères opposés, ils n'ont d'autre choix que de s'accrocher l'un à l'autre, s'accrocher à leurs amours éloignées, pour ne pas céder à l'impitoyable nature. Avec une délicatesse poétique singulière, l'auteur nous plonge dans un nouveau parcours à travers les tempêtes islandaises. Au milieu de la neige et de la tentation de la mort, il parvient à faire naître une stupéfiante chaleur érotique, marie la douceur et l'extrême pour nous projeter, désarmés et éblouis, dans cette intense lumière qui « nous nourrit autant qu'elle nous torture ». La tristesse des anges fait suite au premier roman de Jón Kalman Stefánsson Entre ciel et terre .
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Un couple fait appel à Konrad, flic à la retraite, car leur fille a disparu. Et leur inquiétude est légitime à cause des sérieux problèmes de drogue de la jeune femme. Dans le même temps, Eyglo, une médium amie de l'ancien policier, lui parle d'un cold case : une enfant noyée en 1947 dans l'étang devant le Parlement. Grâce à une construction brillante, Indridason crée un suspense où Konrad mène deux enquêtes de front, avec, en filigrane, la face sombre de l'Islande.
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« Plus le temps passe et plus Indridason semble prendre le tempo d'un Simenon venu du froid ».
LE FIGARO MAGAZINE.
Une vieille femme est assassinée chez elle. Sur son bureau, on découvre le numéro de téléphone de Konrad, ancien policier. Elle l'avait récemment contacté en le suppliant de retrouver l'enfant qu'elle avait abandonné à la naissance cinquante ans plus tôt. Accablé de remords pour lui avoir refusé son aide, Konrad va s'employer à réparer son erreur. Alors qu'il enquête, se dessine peu à peu l'ampleur d'une tragédie insoupçonnée...
Arnaldur Indridason, né à Reykjavík en 1961, est sans conteste le maître du polar islandais. Konrad, solide enquêteur, sensible et têtu, est le héros d'une nouvelle série dont La pierre du remords est le troisième opus. Tous les livres de l'auteur sont disponibles chez Points.
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«Où s'achèvent les rêves, où commence le réel? Les rêves proviennent de l'intérieur, ils arrivent, goutte à goutte, filtrés, depuis l'univers que chacun de nous porte en lui, sans doute déformés, mais y a-t-il quoi que ce soit qui ne l'est pas, y a-t-il quoi que ce soit qui ne se transforme pas, je t'aime aujourd'hui, demain, je te hais - celui qui ne change pas ment au monde.» Jens le postier et le gamin ont failli ne pas sortir vivants de cette tempête de neige, quelque part dans le nord-ouest de l'Islande. Ils ont été recueillis après leur chute par le médecin du village. Nous sommes au mois d'avril, la glace fondue succède à la neige et au blizzard. Après avoir repris des forces, il leur faudra repartir, retrouver une autre communauté villageoise, celle de la vie d'avant...Après Entre ciel et terre et La tristesse des anges, Jón Kalman Stefansson clôt avec ce volume une trilogie bouleversante qui a pour toile de fond l'Islande de la fin du XIX? siècle.
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D'ailleurs les poissons n'ont pas de pieds
Jón Kalman Stefansson
- Folio
- Folio
- 2 Février 2017
- 9782072704550
«Elle est plus belle que tout ce qu'il a pu voir et rêver jusque-là, à cet instant, il ne se souvient de rien qui puisse soutenir la comparaison, sans doute devrait-il couper court à tout ça, faire preuve d'un peu de courage et de virilité, pourtant il ne fait rien, comme s'il se débattait avec un ennemi plus grand que lui, plus fort aussi, c'est insupportable, il serre à nouveau les poings, récitant inconsciemment son poème d'amour. Elle s'en rend compte et lui dit, si je dénoue mes cheveux, alors tu sauras que je suis nue sous ma robe, alors tu sauras que je t'aime.» Ari regarde le diplôme d'honneur décerné à son grand-père, le célèbre capitaine et armateur Oddur, alors que son avion entame sa descente vers l'aéroport de Keflavík. Son père lui a fait parvenir un colis plein de souvenirs qui le poussent à quitter sa maison d'édition danoise pour rentrer en Islande. Mais s'il ne le sait pas encore, c'est vers sa mémoire qu'Ari se dirige, la mémoire de ses grands-parents et de leur vie de pêcheurs du Norðfjörður, de son enfance à Keflavík, dans cette ville «qui n'existe pas», et vers le souvenir de sa mère décédée.
Jón Kalman Stefánsson entremêle trois époques et trois générations qui condensent un siècle d'histoire islandaise. Lorsque Ari atterrit, il foule la terre de ses ancêtres mais aussi de ses propres enfants, une terre que Stefánsson peuple de personnages merveilleux, de figures marquées par le sel marin autant que par la lyre. Ari l'ancien poète bien sûr, mais aussi sa grand-mère Margrét, que certains déclareront démente au moment où d'autres céderont devant ses cheveux dénoués. Et c'est précisément à ce croisement de la folie et de l'érotisme que la plume de Jón Kalman Stefánsson nous saisit, avec simplicité, de toute sa beauté.
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L'inspecteur Erlendur, un vieux policier de Reykjavik, mal nourri, toujours de mauvaise humeur, dans la tradition du genre, enquête sur le meurtre d'un vieil homme. Dans l'ordinateur de la victime, on trouve des photos pornographiques immondes et, coincée sous un tiroir, la photo de la tombe d'une enfant de quatre ans. Erlendur n'accepte pas la thèse du crime de drogué en manque, il retrouve un ami de cet homme en prison et découvre le passé de violeur de la victime. A travers l'autopsie de la petite fille morte quarante ans auparavant, il découvre la Cité des Jarres et le fichier génétique de la population islandaise. L'écriture de Indridason reprend aux vieilles sagas leur humour sardonique, l'acceptation froide des faits et leurs conséquences lointaines. Ce livre, écrit avec une grande économie de moyens, va bien plus profond que la plupart des romans policiers : il transmet le douloureux sens de l'inéluctable qui sous-tend les vieilles sagas qu'au Moyen Age les Islandais se racontaient pendant les longues nuits d'hiver. Il représente un remarquable apport à la tradition. Et chez Indridason l'humanité triomphe toujours.
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Dans un jardin sur les hauteurs de Reykjavik, un bébé mâchouille un objet étrange... Un os humain ! Enterré sur cette colline depuis un demi-siècle, le squelette mystérieux livre peu d'indices au commissaire Erlendur. L'enquête remonte jusqu'à la famille qui vivait là pendant la Seconde Guerre mondiale, mettant au jour les traces effacées par la neige, les cris étouffés sous la glace d'une Islande sombre et fantomatique...
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Sur le glacier de Langjökull en constant recul, des touristes en excursion découvrent le cadavre d'un homme d'affaires disparu depuis trente ans. Son associé de l'époque, un temps soupçonné, est de nouveau arrêté. Konrad, policier à la retraite et veuf, reprend ses recherches, obsédé par le souvenir de cette enquête bâclée par un de ses collègues. Le témoignage d'une femme pourrait relancer toute l'affaire.
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Le monde peut devenir si petit qu'il se résume à un seul être humain. À un homme minuscule dans un fjord abandonné d'Islande, qui se souvient : comment toute communication avec le monde extérieur fut soudain coupée, quelle fut la réaction du gouvernement, des médias, de la population. Quelle fut la sienne, journaliste politique flirtant avec les sphères du pouvoir, en couple avec María, musicienne d'origine étrangère. Le pays, obsédé par son passé, croit pouvoir vivre en autarcie, rejette ce qui n'est pas islandais et réactive les peurs ancestrales. Et c'est un piège qui se referme...
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Le corps d'une jeune toxicomane est découvert sur la tombe du héros national de l'indépendance islandaise qui était originaire des fjords de l'Ouest. C'est dans cette région que partent enquêter le commissaire Erlendur et son adjoint Sigurdur Oli. Sur place, la situation sociale y est alarmante : la vente des droits de pêche a généré chômage et émigration intérieure massive. C'est alors que disparaît le parrain de la drogue local. Une nouvelle piste s'ouvre... Écrit juste avant La Cité des jarres, ce livre a consacré la renommée d'Erlendur, flic coriace et taciturne.
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Edda, une jeune Islandaise, disparaît un beau matin, abandonnant son mari et leur bébé. Quand la police découvre qu'elle s'est rendue à New York, son frère Einar part à sa recherche. Peu à peu il comprend que la disparition de sa soeur est liée à sa vieille obsession pour les textes et que la clé pourrait se trouver dans un livre. Mais lequel ? Naviguant entre l'Islande des années 1990 et le New York contemporain, cette enquête aux allures de thriller décrit le lien spécial qui unit certains êtres et aborde la question de l'influence de l'écrit sur le développement humain, nos interactions avec les autres, et celle de sa possible disparition dans le monde connecté.
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À la mesure de l'univers est la suite du roman D'ailleurs, les poissons n'ont pas de pieds, même si ce deuxième tome peut se lire indépendamment du premier. Après plusieurs années d'exil au Danemark, Ari rentre en Islande au chevet de son père mourant. Il est devenu éditeur et a récemment quitté sa femme. À Keflavík, l'endroit le plus noir de l'île, la neige recouvre tout mais, partout, les souvenirs affleurent. Ari retrouve des connaissances qu'il n'a pas vues depuis des années. Ces rencontres révèlent des secrets de familles bouleversants qui le conduisent à s'interroger sur son passé : les deuils, les lâchetés, les trahisons.
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Daniel, quadragénaire interné dans un hôpital psychiatrique de Reykjavík, se jette par la fenêtre sous les yeux de son frère, Palmi. Au même moment, un vieil enseignant, qui a eu Daniel comme élève dans les années 1960, meurt dans l'incendie de sa maison. Palmi, rongé par la culpabilité, cherche à découvrir la vérité tandis qu'une équipe de policiers mène l'enquête officielle. Aux côtés du premier de la classe Sigurdur Oli et d'Elinborg, un certain Erlendur apparaît...
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La trilogie des ombres Tome 1 : dans l'ombre
Arnaldur Indridason
- Points
- Points Policier
- 8 Février 2018
- 9782757868454
La mort a été immédiate. Une balle dans la tête. Aucune trace de lutte n'est relevée dans ce modeste appartement de Reykjavík. Le seul détail troublant est une croix gammée tracée sur le front de la victime. Très vite, en cet été 1941, les soupçons se portent sur les soldats étrangers venus contrer l'expansion nazie. Les enquêteurs Flovent et Thorson doivent agir avec prudence : malgré l'occupation alliée, l'ombre du Troisième Reich plane toujours au-dessus de l'Islande.
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Le clan Knudsen règne depuis plus de deux siècles sur Tangavík - petit port de pêche battu par les vents ou fief d'armateurs, question de point de vue.
Chez les Knudsen, on est potentiellement marin de père en fils, sauf à faire carrière à la caisse d'épargne. On compte dans la famille de grands hommes, des hôtesses de l'air et de gentils simplets. Ils ont été ministres, bandits, avo- cats, ivrognes patentés et parfois tout cela en même temps. Les Knudsen ont bâti des empires et les ont perdus avec le même panache. Ils ont monté des conserveries de harengs, composé des symphonies, roulé en belle américaine et sacrément magouillé. Ils ont été portés au pinacle et mis au pilori. Toujours persuadés, de génération en génération, d'être les rois d'Islande.
L'histoire mirifique des Knudsen, de ses représentants et de tous ceux qui passaient par là est, on l'aura compris, un tourbillon de portraits hautement réjouissants - la saga contemporaine d'une famille exubérante et totalement déjantée.
Les Rois d'Islande est un tour de force romanesque doublé d'une satire incisive de la société et de la politique à l'islandaise. Et c'est un chef-d'oeuvre.