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Gallimard
-
Histoire de la Révolution française Tome 2
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 21 Février 2019
- 9782070145676
Nouvelle édition
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Histoire de la Révolution française Tome 1
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 21 Février 2019
- 9782070145669
Nouvelle édition
-
Histoire de la revolution francaise Tome 1 et 2
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 21 Février 2019
- 9782072838224
Coffret de deux volumes vendus ensemble
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Histoire de la Révolution française ; 1792-1794
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 1 Juillet 1939
- 9782070103577
Michelet (1798-1874), pour comprendre la formation de la monarchie, a voulu en étudier la ruine : son Histoire de la Révolution française parut de 1847 à 1853. Elle est demeurée, depuis lors, parce que écrite au plus près des archives, le Grand récit de référence, historique, épique, lyrique. Il n'est jusqu'aux historiens contemporains, marxistes ou libéraux, qui n'y aient puisé, ne l'aient discuté, ne s'en soient inspirés. «Toute histoire de la Révolution jusqu'ici était essentiellement monarchique. Celle-ci est la première républicaine, celle qui a brisé les idoles et les dieux. De la première page à la dernière, elle n'a eu qu'un héros : le peuple.»
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Histoire de la Révolution française (tome 1-avril 1789 - novembre 1792) ; 1789-1792
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 1 Juillet 1939
- 9782070103560
Michelet (1798-1874), pour comprendre la formation de la monarchie, a voulu en étudier la ruine : son Histoire de la Révolution française parut de 1847 à 1853. Elle est demeurée, depuis lors, parce que écrite au plus près des archives, le Grand récit de référence, historique, épique, lyrique. Il n'est jusqu'aux historiens contemporains, marxistes ou libéraux, qui n'y aient puisé, ne l'aient discuté, ne s'en soient inspirés. «Toute histoire de la Révolution jusqu'ici était essentiellement monarchique. Celle-ci est la première républicaine, celle qui a brisé les idoles et les dieux. De la première page à la dernière, elle n'a eu qu'un héros : le peuple.»
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À partir de 1849, le Journal inédit de Jules Michelet devient le journal d'un mari amoureux. L'ardent quinquagénaire succombe à la passion que lui inspire Athénaïs Mialaret. Il épouse, le 12 mars 1849, la jeune institutrice. Elle a le teint pâle, le regard velouté. Et de la tête. Hélas ! elle manque de tempérament. D'où un drame intime, tantôt atténué par la tendresse, tantôt aggravé par le désir. L'épreuve expose Michelet à certains dérèglements affectifs. Mais elle l'éclaire aussi et elle l'élève. Il découvre, en respectant sa compagne, que l'amour, bien loin de nier la justice, l'implique et qu'il l'accomplit dans le sacrifice. Il entreprend donc de rendre justice, en les aimant et en les faisant aimer, aux êtres les plus méprisés : la femme, l'enfant, l'animal. Enfin l'amour des créatures le rend sensible aux harmonies de la Création. Seule la lecture du Journal permet de comprendre comment l'inspiration de Michelet, à la faveur d'une singulière expérience conjugale, se renouvelle sans se renier. Elle révèle encore comment l'écrivain, à son tour, consent que l'amour le réforme. Dans le secret du Journal, Michelet tente d'inventer une «nouvelle langue» amoureuse, ni grossière ni fade, qui serait celle de la «tendresse moderne». Soucieux d'assurer la «résurrection intégrale» de ces années décisives, Paul VialIaneix, éditeur du Journal, présente, en appendice, les Lettres d'amour contemporaines des fiançailles de Michelet et d'Athénaïs, ainsi que les quelques chapitres achevés des Mémoires d'une jeune fille honnête. Il tire parti, dans l'annotation, de nombreux documents inédits qui témoignent de l'intérêt suscité, sous le Second Empire, par l'enseignement renouvelé du maître romantique. Il propose enfin aux lecteurs du Journal comme une histoire intérieure de la grande passion de Michelet : Athénaïs, ou les amours de la cinquantaine.
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Le tome III du Journal s'étend de l'année 1861 à la fin de l'année 1867. L'homme qui l'écrit - Michelet est né en 1798 - reste fidèle à sa discipline de travail, à ses idées, à ses habitudes. Et d'abord à celle de rédiger un journal ! Mais si cette coutume quasi quotidienne lui vient de sa jeunesse, les motifs qu'il se donne ou s'imagine pour l'écrire ont varié. Depuis une douzaine d'années Michelet s'est remarié et l'emprise, ou l'inspiration, d'une femme aimée se fait sentir. En 1865, Michelet en arrive, dans une méditation sur son Journal, à déclarer qu'il l'écrit «uniquement pour elle». Comment Michelet vit et voit cet amour, quelles formes prend cette passion continue, sans cesse renouvelée au fil des années, le Journal le montre en nous montrant un Michelet fidèle... à lui-même, soumis à certaines exigences qui lui sont devenues nécessaires et porté à les idéaliser. Le tome III du Journal fournit à cet égard une documentation précieuse, des éléments d'explication et, sans doute, de discussion. Pourtant Michelet insiste, à juste titre, sur le fait que sa vie conjugale lui fut le moyen de réaliser son oeuvre. De ce point de vue le Journal des années 1861-1867 apporte nombre de renseignements utiles à la compréhension d'une période importante de la vie de l'écrivain : celle des grands achèvements. On y suivra la composition des derniers volumes de l'Histoire de France. Par l'étude de Louis XV, de Louis XVI, Michelet rejoint son Histoire de la Révolution Française : en mai 1867 le grand oeuvre est terminé ! En ces mêmes années il écrit La Sorcière (1862), La Bible de l'Humanité (1864), La Montagne (qui paraîtra en 1868), et le Journal nous découvre, dans le détail, ses lectures, ses préoccupations, son travail quotidien. C'est dans ces ouvrages que l'écrivain passionné par l'étude de la nature, par l'histoire des religions, par la foi en la raison, en l'avenir de l'homme, expose, par divers biais, ses convictions. Le Journal qui le montre sous ses aspects divers lui est parfois aussi le moyen de s'interroger sur lui-même, sur ses intérêts variés et qui peuvent sembler divergents. Michelet prolonge le compte rendu de ses journées par des résumés et des méditations qui l'assurent de son «harmonie ». En ces pages qu'il aime consulter, l'historien revoit, interprète son passé, à leur lumière il décide de son présent, prévoit son avenir proche. Et il nous découvre précisément sa complexité alors qu'il pense retrouver son unité.
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Avec ce tome IV s'achève la publication du Journal de Michelet. Ce sont ici les dernières années d'une vie, de 1868 à la fin de 1873 (Michelet meurt le 9 février 1874), qui nous sont présentées. Alors que le Second Empire approche de sa fin, Michelet peut estimer avoir réalisé quelques-unes de ses ambitions majeures. En 1868-1869 il se trouve tout à la fois publier une nouvelle édition de l'Histoire de la Révolution Française et composer la célèbre préface de l'Histoire de France. D'autre part 1869, c'est l'année d'élections qu'il juge décisives et riches de promesses. D'où, pour lui, une période d'intense excitation intellectuelle. Le Journal permet de préciser son action. L'homme qui restait à l'écart intervient avec fougue et autorité dans la vie publique. Il manifeste son soutien à un jeune candidat républicain, Jules Ferry ; il publie de nombreuses lettres dans la presse. Il proclame sa foi dans les idées démocratiques, il se réjouit de sentir le bouillonnement de la jeunesse, de voir une nouvelle génération s'opposer à l'Empire. Il se figure aussi que de telles élections rendent impossible une guerre européenne. Ces premières années du Journal, 1868-1870, nous font voir un Michelet heureux, ardent et optimiste, confiant en un avenir très proche... On sait qu'une fois de plus la réalité ne répondit pas aux attentes du rêve. Les épreuves nationales : guerre, Commune, les souffrances individuelles vont se succéder. Le lecteur du Journal pourra suivre les pérégrinations de l'écrivain en Suisse, en Italie, et ses efforts désespérés. Car Michelet n'abandonne pas la partie, il écrit La France devant l'Europe, entreprend et terminera les trois volumes de son Histoire du XIX? siècle. Mais aussi il est frappé : physiquement d'abord par des attaques qui le diminuent, moralement ensuite comme le montreront les préfaces qu'il compose pour l'Histoire du XIX? siècle. Ainsi s'achèverait dans la désolation une vie que Michelet, en 1869, jugeait comblée. Mais il conserve ses viriles vertus, la force d'une volonté passionnée. Proche de l'imminente mort, il songe à de nouvelles enquêtes, projette encore. Cependant l'inexorable vieillissement accentue sa prise. Elles sont émouvantes dans leur brièveté et malgré leur sécheresse, les dernières pages du Journal. Un grand coeur, à qui fut accordé le don du Verbe, le grand inventeur de rythmes, de formules impérieuses, d'un art nouveau de la prose française, s'obstine à résumer chichement les jours qui passent, à dater quelques notes ; il inscrit un rappel, un fait menu ... la vie manque et va finir.
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Cours au collège de France (1838-1851) Tome 1-1838-1844
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque Des Histoires
- 14 Septembre 1995
- 9782070733903
De la chaire «d'histoire et de morale» que Michelet occupe au Collège de France de 1838 à 1852, date à laquelle il est révoqué par Napoléon III, celui que la «jeunesse des écoles» appelait M. Symbole a su faire une des grandes tribunes de l'opposition. Ces quatorze ans se situent au coeur de sa carrière, au moment où il se détourne de l'Histoire de France, menée jusqu'à la fin du Moyen Âge, pour se lancer dans l'Histoire de la Révolution. Dans ce haut lieu qu'il considère comme l'«asile du libre examen», Michelet associe à la «résurrection» du passé de la nation une ardente prédication démocratique tournée vers l'avenir. Il oppose le «choix» de la Révolution, inséparable du génie inventif de la Renaissance, à la stérilité dont il accuse aussi bien le «juste milieu» de Guizot que l'éclectisme de Cousin, le cléricalisme du parti-prêtre que le bonapartisme du corps électoral de la II? République. D'où le silence, provisoire en janvier 1848, définitif en avril 1852, que lui imposent les gardiens successifs de l'Ordre.Le cours interdit de 1848 est précisément le seul, avec celui de 1843 sur les Jésuites, que Michelet ait publié. La présente édition, largement inédite, réunit pour la première fois en deux volumes l'ensemble des Cours au Collège de France.
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Cours au collège de France Tome 2 ; 1845-1851
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque Des Histoires
- 14 Septembre 1995
- 9782070739677
De la chaire «d'histoire et de morale» que Michelet occupe au Collège de France de 1838 à 1852, date à laquelle il est révoqué par Napoléon III, celui que la «jeunesse des écoles» appelait M. Symbole a su faire une des grandes tribunes de l'opposition. Ces quatorze ans se situent au coeur de sa carrière, au moment où il se détourne de l'Histoire de France, menée jusqu'à la fin du Moyen Âge, pour se lancer dans l'Histoire de la Révolution. Dans ce haut lieu qu'il considère comme l'«asile du libre examen», Michelet associe à la «résurrection» du passé de la nation une ardente prédication démocratique tournée vers l'avenir. Il oppose le «choix» de la Révolution, inséparable du génie inventif de la Renaissance, à la stérilité dont il accuse aussi bien le «juste milieu» de Guizot que l'éclectisme de Cousin, le cléricalisme du parti-prêtre que le bonapartisme du corps électoral de la II? République. D'où le silence, provisoire en janvier 1848, définitif en avril 1852, que lui imposent les gardiens successifs de l'Ordre.Le cours interdit de 1848 est précisément le seul, avec celui de 1843 sur les Jésuites, que Michelet ait publié. La présente édition, largement inédite, réunit pour la première fois en deux volumes l'ensemble des Cours au Collège de France.
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Michelet coffret 2 volumes
Jules Michelet
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 11 Mai 1989
- 9782070111657
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Le Journal de Michelet s'étend de 1828 à 1874, du premier voyage hors de France à la mort de l'historien. En même temps qu'il le tenait, Michelet composait une oeuvre immense. En fait, il s'imposait ainsi une discipline de conscience qui lui permettait de ne pas devenir l'esclave de son métier. Il contrôlait sa vie au jour le jour. Il y mettait de l'ordre, choisissant parmi les faits quotidiens ceux qui méritaient de rester dans sa mémoire. La lecture du Journal révèle bien l'esprit méthodique de Michelet, entraîné, mais non subjugué par ses inspirations, capable de tenir à la fois le registre de ses dépenses et celui de ses émotions, administrant avec une égale fermeté sa maison, son oeuvre et son génie, consignant actes et impressions comme s'il devait, un jour, en rendre compte. Tout en dressant ainsi le procès-verbal de son existence, Michelet préparait quelque nouveau livre, recherchant des idées, les mettant à l'épreuve. Comme il l'avait prévu au moment de le commencer, le Journal recueillit ses pensées aussi bien que ses sentiments. S'y accumulèrent des anecdotes, des remarques pittoresques, des formules notées en vue de l'oeuvre future. La vivacité des récits de l'Histoire de France, des descriptions de La Mer et de La Montagne tient à l'exactitude des détails vrais observés pendant un voyage ou relevés au cours d'une lecture. Le tableau de la vie ouvrière que l'on admire dans Le Peuple est esquissé dans la relation des voyages à Lyon et en Normandie. On sait que la plupart des livres de Michelet ont été écrits très vite : c'est qu'ils avaient longuement mûri dans la retraite du Journal. Le Journal ne s'écourte que dans les périodes, fréquentes, il est vrai, de grand travail. Il reprend de l'ampleur dès que Michelet retrouve le loisir de s'y confier. On découvre alors ce qu'est le génie littéraire : Michelet vivait la plume à la main. On sera surpris du nombre de pages rédigées au cours de certains voyages. Transporté sur de mauvais chemins où le cahotaient d'inconfortables voitures, accueilli dans de rudes auberges, Michelet n'interrompait jamais son Journal. La fatigue, de son propre aveu, brisait ses membres ; mais elle épargnait en lui le don d'écrire, l'art de choisir les mots qui allaient fixer les images de la journée dans leur fraîcheur. Ce volume est précédé d'une riche et passionnante étude de Paul Viallaneix, qui a reconstitué et annoté le texte du Journal.
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Coffret histoire de la révolution française
Jules Michelet
- Gallimard
- Folio Histoire
- 29 Mars 2007
- 9782070344673
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