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Prix
Herman Melville
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Assoiffé d'aventures, Ishmaël prend le large. De tous les Préface de Jean Giono navires qui sillonnent les mers au XIX? siècle, les baleiniers sont sans doute les plus redoutables : c'est sur l'un d'eux qu'Ishmaël s'embarque pour chasser ces léviathans et gagner l'océan. À bord du Péquod, il fait la rencontre du capitaine Achab, voué à la destruction d'un seul être : Moby Dick, la baleine blanche qui jadis emporta sa jambe. Rivé à un unique objet, Achab s'identifie peu à peu à la baleine, métamorphose qui n'épargne pas son corps : à la place de sa jambe mutilée trône désormais l'os d'un cétacé. Les considérations économiques et maritimes, comme les rêves de voyage d'Ishmaël, cèdent le pas devant l'obsession du marin pour l'effroyable animal. Entraîné par la haine obstinée de son capitaine, l'équipage voit son horizon progressivement réduit à la seule ombre blanche de Moby Dick. Derrière le roman d'aventures, Melville peint les tourments d'une haine passionnelle qui touche au plus brûlant des amours.
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«Une fois dans la bibliothèque, il me fallut environ deux secondes pour mettre la main sur le Bartleby de Melville. Bartleby ! Herman Melville, Bartleby, parfaitement. Qui a lu cette longue nouvelle sait de quelle terreur peut se charger le mode conditionnel. Qui la lira le saura.» Daniel Pennac.
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«J'aimerais mieux ne pas» répond invariablement le scribe Bartleby quand on lui confie un travail. Cette phrase, devenue culte, est un cri de résistance puissant. L'obstination de Bartleby à refuser toutes les tâches qu'on lui demande nous fascine et nous émeut, jusqu'à nous guider vers une forme d'audace et de liberté jamais explorée.
« Rien n'exaspère autant une personne sérieuse que la résistance passive. » Traduit de l'anglais (États-Unis) par Bernard Hoepffner.
Postface d' Olivier Nora -
Pierre doit épouser Lucy. Il découvre qu'il a une demi-soeur que sa mère refuse de reconnaître. Pierre s'enfuit alors avec elle, à New York, où Lucy s'avise de les rejoindre pour vivre avec eux. Bientôt, leur vie à trois devient l'objet d'un scandale. Cette vie tourne au cauchemar quand Pierre, devenu assassin, entraîne ses compagnes dans la mort. Un roman somptueux, publié en 1852, d'une force et d'une modernité implacables.
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Bartleby le scribe / Bartelby the Scrivener
Herman Melville
- Folio
- Folio Bilingue
- 29 Mai 2003
- 9782070425051
«Bartleby the Scrivener est l'histoire d'un homme qui préfère ne plus jouer au jeu des hommes, ou, comme on dirait aujourd'hui, qui préfère ne plus jouer le jeu des hommes. Il exprime cette préférence par un conditionnel poli, I would prefer not to, mais elle est à ce point radicale qu'il se refuse à toute explication.» Daniel Pennac.
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Moby-Dick
Cédric Hannedouche, Herman Melville
- Belin éducation
- Classico College - Extraits Et Dossier
- 21 Août 2024
- 9791035833640
Dossier pédagogique par Cédric Hannedouche.
Adaptation par Patricia Arrou-Vignod.
Traduction de Philippe Jaworski.
Le capitaine Achab n'a qu'une idée en tête, se venger de Moby Dick, la monstrueuse baleine blanche qui lui a broyé la jambe. Il entraîne tout son équipage, dont le jeune Ismaël, dans un voyage sans fin pour traquer l'animal. Embarquez sur le navire avec les matelots et sillonnez les mers interdites à la recherche de Moby Dick !
Dans le volume, des activités pour dire, lire et écrire.
Groupements de textes :
1. Les hommes et la mer
2. De redoutables créatures...
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Le mot Taïpi désigne à la fois une région de l'île Nuku-Hiva, de l'archipel des Marquises, et la population qui l'habite. C'est ce pays et ces hommes que le jeune matelot Herman Melville, évadé du navire baleinier la Dolly, fut, vers 1843, amené à connaître. Les Taïpis ont une horrible réputation : on les dit cannibales. Cela n'empêcha pas Melville et son camarade Toby de se réfugier chez eux. Contre toute attente, les deux fugitifs furent très bien accueillis et vécurent avec les Taïpis des mois merveilleux. Melville fait revivre la gentillesse et l'intelligence de ses hôtes, ses amours avec la belle Faïaoahé, ses nobles discussions avec le grand chef Mehevi, ses démêlés avec Kory-Kory son domestique... C'est vraiment un Eden que Melville a recréé.
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Bartleby ; les îles enchantées ; le campanille
Herman Melville
- Flammarion
- Gf
- 9 Avril 2012
- 9782081275294
Découvrez Bartleby, Les Iles enchantées, Le Campanile, le livre de Herman Melville. Un homme est engagé comme copiste dans un cabinet de Wall Street. Et voilà qu'à peine arrivé. cet employé modeste se met, sans raison, à opposer à chacune des requêtes de son patron la même formule stupéfiante : I would prefer not to, "J'aimerais mieux pas". Cet homme, c'est Bartleby ; son destin, celui d'un original qui, par la force de quelques mots, sème autour de lui un vent de folie, sape toute autorité, et se coupe irrémédiablement du reste du monde. Fable grinçante où le cocasse le dispute au tragique. Bartleby est l'une des oeuvres les plus corrosives de Melville. Les deux autres récits rassemblés dans ce volume lui font écho : les mystérieux marins solitaires des îles enchantées et Bannadonna, l'artisan génial reclus dans la tour du Campanile, sont les frères de Bartleby. A travers ces trois histoires, Melville, explorateur de l'âme humaine, construit un univers dans lequel chaque personnage, défiant la normalité, emporte le lecteur dans le vertige salutaire du doute.
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Le bonheur dans l'échec ; cocorico !
Herman Melville
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 30 Octobre 2019
- 9782743648718
Herman Melville, sans doute le plus grand romancier américain du XIXe siècle, ne fut pas seulement l'auteur de «Moby Dick», mais aussi d'un bon nombre de nouvelles qui sont des chefs-d'oeuvre du genre. Dans ce moule étroit, Melville a coulé toute la profondeur et la richesse d'invention de ses ouvrages plus amples : les deux récits traduits ici nous le montrent à la fois réaliste, épousant le détail et le sordide de l'Amérique moyenne de son temps, et flamboyant, poussant l'écriture jusqu'aux portes du délire. Derrière les saynètes de Melville se profile sans cesse un encyclopédisme kaléidoscopique, qui convoque de multiples aspects de la tradition pour les plonger dans l'acide corrosif du monde moderne. Mélange explosif des genres qui a toujours pour enjeu une improbable transfiguration du réel quotidien : ces récits oscillent entre la jouissance et la résignation comme entre la faillite et le salut.
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Loin du paradis tropical, les îles des Galapagos sont de gros rochers volcaniques peuplés de tortues, de serpents, d'araignées, de mouettes et de pélicans... Et pourtant, grâce au talent de Melville, elles deviennent les «Îles Enchantées» où folklore et récits de marins s'entremêlent pour envoûter voyageurs et lecteurs. Dans une suite d'esquisses, l'auteur de Moby Dick nous entraîne dans un voyage poétique et exotique.
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Le paradis des célibataires
Herman Melville
- Éditions Allia
- Petite Collection
- 25 Avril 2007
- 9782844852441
Suaves sont les oasis du sahara ; charmant l'archipel de bosquets dans les prairies d'août; délicieuse l'aiguille de loyauté dans la meule des perfidies ; mais plus suave, plus charmant, plus délicieux ce rêve enfoui au coeur de pierre étourdissant de londres, le paradis des célibataires.
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Au milieu d'un paysage campagnard - par ailleurs remarquablement décrit - s'élève le chant d'un coq. Banal au demeurant, sauf que ce chant-là, puissant et incroyablement mélodieux, prend des airs de cantiques et possède l'étrange vertu de chasser la moindre idée noire de quiconque viendrait à l'entendre. Hilarant et loufoque, le récit de Melville nous entraîne sur les talons du protagoniste, homme endetté et buveur invétéré, dans une truculente course au coq dont la conclusion tragique n'altère en rien la fraîcheur du texte. Mi allégorie, mi conte rural, Cocorico est un récit dont on suit la trame inhabituelle avec une impatience enjouée.
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Dans les récits réunis ici se tissent des correspondances thématiques, notamment celle de l'individu en lutte avec le conformisme de son entourage. Touchantes, d'une grande finesse mais également d'une grande malice, ces nouvelles sont de véritables petits joyaux d'un des grands maîtres de la littérature américaine.
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«Lecteur, écoute! J'ai entrepris un voyage sans carte. Avec une boussole, nous n'aurions pas trouvé ces îles de Mardi. Ceux qui se lancent hardiment, en coupant tous les câbles, et se détournent de la commune brise (bonne pour les navigateurs ordinaires), ceux-là gonflent leurs voiles de leur propre souffle. Suivez de près le rivage, vous ne voyez rien. Mais si vous cherchez un monde nouveau, Ohé, la terre!:tel est le cri que vous entendez. [...] Et, si après mille efforts pénibles, le lecteur décrète qu'on n'a pas atteint le port, cependant il vaut mieux sombrer dans les profondeurs en cherchant avec ardeur, que flotter sur un banc de sable. Dieux, conduisez-moi au naufrage, si naufrage il doit y avoir!» Melville
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Herman Melville s'est inspiré, pour écrire Benito Cereno, d'un fait divers : des esclaves noirs, transportés à bord d'un galion espagnol, s'étaient révoltés, avaient massacré les Blancs, à l'exception du commandant, Don Benito Cereno, et de quelques matelots qu'il fallait épargner pour pouvoir être ramenés en Afrique. À court de vivre et d'eau et contraints de toucher à un petit port du Chili, ils avaient forcé Don Benito à feindre d'être resté le maître à bord, eux-mêmes demeurant apparemment ses esclaves soumis, et le Nègre Babo jouant auprès de lui, pour le surveiller étroitement, le rôle du serviteur personnel plein de zèle lors de son entretien avec le capitaine Delano. Celui-ci, en effet, mouillé dans le port et voyant ce navire évidemment désemparé, était venu lui offrir son aide. Mais il avait éprouvé à son bord un sentiment croissant d'étrangeté et de malaise, jusqu'au moment où un coup de théâtre - le saut de Don Benito par-dessus bord - avait révélé le véritable état des choses. De ce fait divers, le talent de Melville a fait une parabole, celle de l'ambiguïté foncière où est piégée l'infime condition humaine.
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Captain Ahab is an eerily compelling madman who focuses his distilled hatred and suffering (and that of generations before him) into the pursuit of a creature as vast, dangerous and unknowable as the sea itself.
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"I prefer not to," he respectfully and slowly said, and mildly disappeared. Academics hail it as the beginning of modernism, but to readers around the world--even those daunted by Moby-Dick -- Bartleby the Scrivener is simply one of the most absorbing and moving novellas ever. Set in the mid-19th century on New York Citys Wall Street, it was also, perhaps, Herman Melville's most prescient story: what if a young man caught up in the rat race of commerce finally just said, "I would prefer not to"? The tale is one of the final works of fiction published by Melville before, slipping into despair over the continuing critical dismissal of his work after Moby-Dick , he abandoned publishing fiction. The work is presented here exactly as it was originally published in Putnam's magazine--to, sadly, critical disdain. The Art of The Novella Series Too short to be a novel, too long to be a short story, the novella is generally unrecognized by academics and publishers. Nonetheless, it is a form beloved and practiced by literature's greatest writers. In the Art Of The Novella series, Melville House celebrates this renegade art form and its practitioners with titles that are, in many instances, presented in book form for the first time.
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Billy Budd, matelot & autres récits maritimes
Herman Melville, Maxime Cervulle, Jérôme Vidal, Eve Kosofsky Sedgwick
- Amsterdam
- Poche
- 19 Juin 2007
- 9782915547573
Billy budd est sans doute un des textes littéraires les plus discutés et les plus commentés qui aient été écrits au xixe siècle ; il a suscité, et suscite encore, des débats souvent passionnés, tant son interprétation est délicate, tant aussi il engage des problèmes fondamentaux de notre culture.
Cette fable politique a pour figure centrale un matelot à la beauté éclatante, enrôlé de force sur un navire de la marine de guerre britannique à l'époque de la révolution française, qui doit successivement faire face à la haine inexpiable que lui voue claggart, le maître d'armes chargé de la police de l'équipage, et à la justice inflexible du commandant du navire, le capitaine vere. dans ce récit, traversé par un homo-érotisme évident, décrivant des relations de pouvoir saturées dans un univers exclusivement masculin, melville met en scène avec le personnage de billy budd une antigone moderne qui, dans l'adversité, est frappée de mutisme.
Cette nouvelle traduction de billy budd s'efforce de rester au plus près de la langue si singulière de melville, de ne pas lui substituer la " belle " langue de la traduction, et de restituer pour le lecteur francophone ses aspérités et sa beauté baroque. ce volume contient également les encantadas ou îles enchantées, et est suivi d'une postface inédite en français d'Eve Kosofski Sedgwick. -
Fragments trouvés sur un bureau
Herman Melville
- La Part Commune
- La Petite Part
- 6 Novembre 2014
- 9782844182678
Premier texte connu de Herman Melville, l'auteur de Moby Dick et de Bartleby, écrit et publié à vingt ans, le diptyque des « Fragments trouvés sur un bureau » aborde une thématique plutôt rare dans son oeuvre : une célébration de la beauté séraphique des femmes, de l'amour et de l'érotisme. Mélangeant l'allégorie et le grotesque, il compose deux courts contes inédits qui ne sont pas sans rappeler l'atmosphère gothique et mystérieuse des Histoires extraordinaires d'Edgar Allan Poe, dans lesquelles Melville aurait introduit une touche inattendue de burlesque. La description et la quête de ses héroïnes vont de pair, chez le narrateur, avec une formidable énergie sexuelle, ce qui fait de ces « Fragments » une ode à l'éternel féminin où l'humour sert en quelque sorte de contrepoison à la mélancolie dont se paraient les jeunes filles de son temps pour attirer dans leurs rets leurs prétendants, en réfrénant leur fougue et leurs ardeurs...
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Mué en poète par l'échec de sa prose, semble-t-il, Melville, après neuf ans de silence, chante la guerre civile qu'il vient de vivre. «Les aspects que la lutte revêt dans la mémoire, écrit-il, sont aussi divers que les humeurs de la méditation involontaire... Je n'ai fait, dirait-on, que placer une harpe à la fenêtre et noter les airs contrastés que les vents capricieux jouaient sur les cordes.» Conscient de la diversité comme de l'allure dialectique de son épée, il la sait aussi quasi théologique. Pour lui, il s'est produit «une nouvelle chute de l'Homme», suivie, «dans le silence du Ciel», d'un conflit entre les Anges de ténèbres et les Anges de lumière. Mais que savons-nous des voies de Dieu et des voies de l'Adversaire ? Et, au niveau du choix individuel, le «devoir» qui nous appelle au sacrifice ne risque-t-il pas d'être «le masque de Caïn» ?
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Benito Cereno ; la vérranda ; le marchand de paratonnerres
Herman Melville
- Flammarion
- Gf
- 13 Octobre 2008
- 9782081223233
Trois nouvelles que l'auteur de«Moby Dick»écrivit pendant l'une des périodes les plus sombres de sa vie. Trois subtiles variations sur le thème du voyage et de l'écriture.
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«La tête de Melville est pleine de baume et mai fleurit en ses yeux. Ses souvenirs sont des rois:des îles couronnées d'un écumant soleil, le silence plat des eaux couronnées d'atolls et la monstrueuse couronne errante des typhons roulant dans l'écoulement des moussons comme la couronne des rois de Shakespeare.» Jean Giono
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Bartleby ; une histoire de wall street et autres recits
Herman Melville
- Amsterdam
- Poche
- 19 Juin 2007
- 9782915547580
Après avoir décrit son cabinet d'homme de loi, lieu sinistre cerné par les grands murs sombres des immeubles avoisinants de wall street, et ses clercs, qui évoquent les personnages les plus comiques de dickens, le narrateur de cette histoire de wall street rapporte comment bartleby, qu'il avait recruté comme copiste, refusa obstinément de répondre à tous les ordres et à toutes les demandes, sollicitations et supplications qui lui étaient adressés, leur opposant une même formule : " j'aimerais mieux pas " (i would prefer not to), entraînant par là le dérèglement de tout son univers.
Les portraits cocasses et mordants dressés par melville et l'évocation émouvante d'une figure christique aux prises avec le pharisaïsme de ses contemporains laissent ouverte la question du sens de ce récit : si la formule de bartleby perturbe le narrateur et son petit monde, elle vient aussi troubler les interprétations du texte que le lecteur pourrait se risquer à avancer. c'est sans doute l'une des raisons de la fascination que n'a pas cessé d'exercer bartleby sur ses lecteurs.
Ce volume contient également des traductions inédites de l'homme au paratonnerre, la véranda, le clocher, ainsi que " descriptions d'un combat ", une lecture de bartleby proposée par mathieu lindon.
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Carefully controlled information, structure and vocabulary
Some difficult words and phrases are explained with pictures
The book has around 600 basic words for Beginner-level students
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