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Daniel Leloup
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La Renaissance française nous a légué parmi les beaux joyaux du patrimoine architectural français. Si l'on pense bien évidemment aux châteaux du Val de Loire, il ne faut pas pour autant oublier les très nombreux autres témoignages de cette période. Daniel Leloup nous aide à comprendre ce que fut la Renaissance en France et comment elle se traduit dans l'architecture. Une histoire précise, des exemples concrets, clairement illustrés.
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Architecture classique
Daniel Leloup
- GISSEROT
- Gisserot Patrimoine Culturel
- 15 Mai 2017
- 9782755807134
L'architecture classique est souvent méconnue, si on la compare aux architectures romanes, gothiques ou renaissance. Cependant, ce courant architectural du XVIIè siècle nous a laissé des chefs d'oeuvre mondialement connus : Versailles, Vaux-le-Vicomte, le Parlement de Bretagne à Rennes, les Invalides, la place des Vosges, Balleroy en Normandie, Maisons-Laffitte, Grosbois, Cheverny, les jardins de Chantilly, le château de Marly...
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Les maisons à Pondalez ; un patrimoine exceptionnel
Daniel Leloup
- SKOL VREIZH
- 15 Octobre 2015
- 9782367580241
Les maisons à Pondalez de Morlaix constituent un patrimoine unique au monde, comparable pour l'architecture civile à ce que sont les enclos paroissiaux pour l'architecture religieuse.
Pendant un siècle et demi, de la fin du XVe siècle au début XVIIe siècle, la corporation des nobles marchands toiliers va pleinement s'identifier à ce modèle d'architecture composé d'un immeuble urbain à pans-de-bois dont la pièce principale s'articule autour d'une cheminée monumentale et d'un escalier à vis desservant les chambres au moyen de galeries suspendues. Les charpentiers bretons de cette époque ont fait des merveilles dans la conception de leur ouvrage et dans les riches décors sculptés aux thèmes religieux ou profanes.
Leur travail admirable hisse cet ensemble unique au rang d'oeuvre d'art qui mérite une reconnaissance bien au-delà des frontières morlaisiennes ou bretonnes.
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Majoritaire avant le grand incendie de 1720, la construction de maisons et immeubles en pans de bois n'a pas disparu après, malgré la législation contraignante obligeant à couvrir les éléments inflammables et interdisant la construction neuve en bois.
Daniel Leloup nous apprend même que, tout en construisant de nouvelles façades de pierre donnant sur rue, les façades sur cour continuaient à être construites en pan de bois ! C'est là le signe que le savoir faire de générations de constructeurs trouvait toujours à s'exprimer.
Daniel Leloup, architecte spécialiste de l'architecture en pans de bois, nous explique en détail les raisons qui ont poussé les constructeurs à privilégier le pans de bois dans la construction, réalisant de véritables prouesses.
La période contemporaine fut très destructrice pour cet habitat qui ne répondait plus aux aspirations de confort. Jusqu'aux années 1960, des rues entières furent détruites sans soulever beaucoup d'interrogations quant à l'intérêt de conserver une architecture originale. Dans les années 1980, les choses changent et, classements et restaurations se succèdent.
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Voici le premier ouvrage sur le village du Mont-Saint-Michel, qui, malgré son intérêt architectural et sa tempétueuse histoire, est demeuré presque ignoré des nombreuses publications consacrées au Mont, focalisées sur l'abbaye. Pourtant, l'histoire de son habitat puise aux sources de l'histoire religieuse du Mont. Depuis l'époque romane, le hameau a vécu au rythme des pèlerinages, puis à celui des trois millions et demi de visiteurs qui l'arpentent chaque année de nos jours. Outre l'architecture originale, ce livre raconte la prise de conscience par l'Etat de l'intérêt du village, ses conflits avec les propriétaires et les avatars des initiatives de restauration. L'illustration comporte nombre de peintures, tirages de plaques de verre inédites, photos actuelles, dessins'
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c'est en 708 que saint aubert, évêque d'avranches, aurait reçu en songe la demande de l'archange saint michel de fonder un lieu de culte en son nom.
depuis la modeste fondation d'une communauté bénédictine sur ce rocher défiant les marées jusqu'à son inscription sur la liste du patrimoine mondial de l'unesco en 1979, le mont-saint-michel a connu une histoire tumultueuse. il fut tour à tour abbaye, forteresse, prison. se dégage de ces lieux, malgré les vicissitudes des destructions et reconstructions, une magie particulière, sans doute due à l'alchimie exceptionnelle entre l'oeuvre de la nature et celle de l'homme.
située dans un écrin de ciel et d'eau, l'abbaye couronne le mont de son architecture audacieuse. même la poldérisation de la baie et la digue routière n'ont pas réussi à détruire la fascination du lieu, que les projets de remise en valeur du site vont rendre à son environnement naturel.
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Alsace, Anjou, Aquitaine, Bretagne, Flandre, Normandie, Poitou, Gascogne, Franche-Comté, Île-de-France (y compris Paris), Languedoc, Orléanais : un concours de beauté ! Qui, tête en l'air, n'a jamais tenté de remonter le temps, pétrifié d'admiration pour les maisons à colombages de quelque rue piétonne ? Nichées pour la plupart au coeur de nos cités, elles sont les dépositaires de l'évolution des techniques et goûts architecturaux depuis sept siècles. L'architecte Daniel Leloup raconte le patrimoine de Dinan, Colmar, Honfleur, Vannes, Rouen, Tours, Troye, etc. : 330 villes sont citées dans cet ouvrage au propos unique !
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Le château d'Anet ; l'amour de Diane de Poitiers et d'Henri II
Daniel Leloup
- Belin
- 3 Octobre 2001
- 9782701125596
Le château d'Anet souffre de n'avoir point été royal.
Il appartient en effet à la sublime duchesse Diane de Poitiers. Mais il doit aussi beaucoup à l'amour d'Henri II pour Diane. Le roi impose son architecte, Philibert de l'Orme, qui multiplie les trouvailles et recrute les meilleurs artistes de la cour. Les armoiries de Diane et d'Henri, partout enlacées, rappellent l'histoire d'une brève et grande passion. Menacé de destruction après les guerres de la Ligue, Anet est, pendant trois siècles, bouleversé, dépecé, détruit aux deux tiers.
Mais il garde les preuves de sa splendeur : son étonnante entrée triomphale, mi-romaine, mi-fonctionnaliste avant la lettre ; sa chapelle sur plan circulaire, une des plus pures de la Renaissance française ; le tombeau de Diane, émouvante relique restituée au château en 1974 seulement.
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Les choses que l'on ne dit pas
Daniel Arnaut, Anne Leloup
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 1 Mars 2006
- 9782930223711
Un homme, ancien ouvrier, est atteint d'une maladie incurable. Ses dernières paroles, d'une folie et d'une lucidité saisissantes, trouvent un écho dans le monologue du narrateur, son fils, qui les recueille et les prolonge. Hommage au père, à ce qu'il a été, à ce qu'il n'a pas pu être.
Avec pudeur, Daniel Arnaut nous convie à un voyage à travers « les mots que l'on ne dit pas ». Loin de nous retrancher du monde, cette plongée dans le secret de l'être ouvre notre regard aux gens, aux objets, au paysage. L'écriture, sobre et concise, donne à ce partage une dimension universelle.
Anne Leloup a illustré ce texte : « J'ai voulu d'une part rendre hommage à la relation père-fils en la traitant par le biais de "figures", à la fois présente et absente. D'autre part le texte évoque aussi des détails de la vie quotidienne et fréquemment des situations où les mains sont actives. Les mains d'une personne font autant son identité que son visage. C'est peut-être pour cela que si, dans les " figures ", les visages sont absents, les mains, elles, sont incarnées. On pourrait aussi dire que les traits hachurés répétés dans les images sont autant de signes de la confusion de l'esprit et des sentiments des personnages. Du père comme du fils. Mais il n'y a pas que cela, ces traits effacent, nient, gommes, parfois avec rage mais au final ils offrent comme un apaisement. Tout cela, c'est ce que je peux dire "après coup", après avoir fait les images. Au moment du dessin la main pense à servir le texte mais pas à préméditer sa propre écriture.» (Noville, le 26 janvier 2005) -
Réformer l'école, c'est possible
Daniel Le bret, Caroline Werkoff-Leloup
- Michalon
- Regeneration
- 1 Mai 2006
- 9782841863228
L'école est aujourd'hui en crise. Si le constat tient du lieu commun, les réponses et les moyens d'en sortir sont moins consensuels. Qu'est-ce qui ne va plus dans l'école de nos enfants ? Est-ce parce qu'elle ne remplit plus sa fonction éducative ou parce qu'elle est devenue le simple reflet de la société qui l'entoure ? Est-ce parce qu'elle n'est plus respectée comme institution ou parce qu'elle n'est plus un lieu de l'élaboration de la citoyenneté ? Est-ce parce que le niveau monte ou bien parce qu'il baisse ? Ce livre propose une réponse d'ensemble, à la fois ambitieuse et pratique, à la crise scolaire. Les auteurs avancent, à partir d'un état des lieux sans concession, l'idée d'une réforme possible plutôt que d'une révolution infaisable. Ses principes : une scolarité obligatoire et unifiée jusqu'à la seconde, une exigence de qualité pour l'enseignement, une attention particulière aux publics les plus fragiles, une véritable responsabilisation de tous les acteurs de l'école (enseignants, parents, élèves, responsables publics, chefs d'établissement), un contrôle des dépenses, une nouvelle culture de l'évaluation...