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Théâtre ou réalité ?
Pour le fidèle bras droit du commissaire Montalbano, l'infatigable coureur de jupons Mimí Augello, c'est une nuit comme les autres lorsqu'il doit se sauver par la fenêtre de la chambre de sa maîtresse pour échapper au mari cocu. Ce qui l'est moins en revanche, c'est de tomber à l'étage du dessous sur le voisin allongé sur son lit, élégamment vêtu... et mort.
Le lendemain matin, un appel au commissariat signale qu'un homme a été retrouvé dans les mêmes circonstances, à une adresse différente. Comment est-ce possible ? Qu'en est-il du premier corps ? Ces tableaux macabres ont un bien étrange goût de mise en scène théâtrale...
Montalbano parviendra-t-il à résoudre cette affaire, dans laquelle drame et réalité se confondent et où les cadavres disparaissent comme dans une pantomime ? -
Montalbano enquête sur le tournage d'un film mystérieux, qui l'amène à remonter la piste d'un crime du passé...
Vigàta est en ébullition : un film se déroulant en 1950 est en cours de tournage. Pour rendre le scénario aussi réaliste que possible, la société de production a incité les habitants à rechercher des documents d'époque. En fouillant dans le grenier, l'ingénieur Ernesto Sabatello trouve plusieurs films tournés par son père, année après année, toujours le même jour, le 27 mars, de 1958 à 1963. On ne voit qu'un bout de mur, l'extérieur d'une maison de campagne apparemment. Perplexe, l'ingénieur remet le tout à Montalbano, qui, intrigué, commence une enquête.
Et une fissure s'ouvre peu à peu dans ce mur : un événement sanglant survenu il y a de nombreuses années, une de ces histoires gardées dans l'ombre... -
Le commissaire Montalbano reprend du service.
Tandis que sur la terre ferme, Montalbano est aux prises avec la révolte d'ouvriers dont le chantier naval ferme pour cause d'incurie d'un jeune héritier jouisseur, au large de Vigàta croise une splendide goélette. Y embarquent des femmes magnifiques dont le commissaire aura l'occasion de faire la connaissance, et aussi de plus inquiétants personnages. Mais le commissaire commence à peine à enquêter sur les activités du voilier qu'il est démis de ses fonctions et traîné dans la boue. Surgit un étrange et sympathique agent du FBI sicilo-américain. Avec son aide, et celle de son fidèle Fazio ainsi que de l'inénarrable Catarella, le commissaire démis devra agir sous couverture pour réussir un des plus gros coups de sa carrière aux dépens de trafiquants internationaux. Pour cela, il devra manier la mitraillette, et également affronter un défi inédit. Familier des bonnes tables, mais pas des cuisines, il lui faudra se mettre aux fourneaux. -
Le premier Montalbano dicté par Andrea Camilleri après sa cécité complète A Vigàta, tandis que l'arrivée chaque nuit de barques contenant des migrants rescapés de naufrages bouleverse la vie du commissariat, Livia, l'éternelle fiancée gênoise de Montalbano le contraint à affronter une autre épreuve : il doit se faire faire un costume sur mesure. A cette occasion, le commissaire rencontre la très belle et aimable Elena et son assistante tunisienne Meriam. Tandis que la crise migratoire s'aggrave sur les côtes siciliennes, avec son lot de racisme et de violences, Elena est assassinée à coups de ciseaux de tailleur, les suspects du meurtre ont apparemment des alibis, et un coupon de tissu d'une exceptionnelle qualité recèle peut-être des révélations sur le passé de la défunte couturière...
Assisté par l'inénarrable Catarella, tombé amoureux d'un chat qui ne le lui rend guère, d'un Augello que son donjuanisme aveugle et d'un Fazio ombrageux, le commissaire Montalbano progresse vers la vérité grâce à son art du mensonge, et sans jamais oublier d'honorer son culte biquotidien à la gastronomie sicilienne...
Traduit de l'italien (Sicile) par Serge Quadruppani -
Certaines méprises peuvent coûter une vie !
Le commissaire Montalbano vit des nuits compliquées et des jours difficiles. Et les deux enquêtes dont il est chargé ne vont pas arranger les choses. Ces étranges enlèvements pour commencer : Manuela et Michela, deux trentenaires sans histoire, kidnappées avant d'être relâchées une heure plus tard sans avoir subi ni vol, ni violence. Avant que Montalbano ait le temps de réellement comprendre de quoi il retourne, une troisième jeune femme subit le même sort. Puis la boutique de matériel électronique du jeune playboy Marcello est incendiée. Et quand ces deux enquêtes fusionnent, le commissaire doit encore composer avec une nouvelle surprise : l'aide improbable de la mafia sicilienne elle-même !
" Andrea Camilleri est un phénomène. " Le Figaro -
Malgré sa longue expérience en terre sicilienne, le commissaire Montalbano doit reconnaître que jamais il n'a été confronté à pareille affaire : un homme tué deux fois. Barletta, affairiste détesté, usurier qui a ruiné bien des malheureux, don juan compulsif qui n'hésite pas à recourir au chantage pour parvenir à ses fins, a d'abord été empoisonné par une femme, puis a reçu une balle dans la tête.
En plongeant dans le passé fangeux de Barletta, le commissaire va se trouver face à ses deux enfants, Arturo, que l'usurier voulait déshériter, et la très belle Giovanna... un véritable nid de vipères !
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?Il pleut depuis une semaine à Vigàta et, ce matin, le commissaire Montalbano doit se rendre sur un chantier boueux où l'on a retrouvé le corps sans vie de Giugiu Nicotra.
La victime, expert-comptable, vivait avec Inge, une Allemande de 25 ans qui, malgré le drame, reste introuvable. Autre particularité, le cadavre a été découvert en caleçon et un mystérieux vélo a été abandonné sur les lieux du crime. Voilà de quoi attiser la curiosité du commissaire.
Sur fond de bataille entre les deux familles qui se partagent la région, Montalbano se lance sur la piste d'un homme que le comptable et sa très belle compagne hébergeaient. Sous la pluie qui la fait fondre, la pyramide de boue au centre d'un chantier offre la terrible métaphore de la société corrompue et déliquescente dans laquelle le commissaire doit se battre...
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Rude journée pour le commissaire Montalbano : d'abord agressé dans sa cuisine par un poulpe haineux, il l'est ensuite dans sa voiture, à coups de clé à molette, par un jeune chauffard. Étrange coïncidence, la compagne de son agresseur est retrouvée assassinée peu après.
Pendant ce temps, un directeur de supermarché est victime d'un cambriolage, mais ce dernier paraît surtout terrorisé par la possible réaction de ses propriétaires - en l'occurrence la mafia.
Derrière ces deux affaires que rien ne réunit, de puissants hommes politiques semblent vouloir la peau du Maigret sicilien. Montalbano parviendra-t-il à déjouer les pièges qu'on lui tend ?
@ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE -
Quand Montalbano se met dans le pétrin, il ne fait pas les choses à moitié. Une enquête sur un retraité poignardé dans un immeuble de Vigàta fait remonter une piste brûlante qui aboutit à deux résultats bien embarrassants : un quasi-incident diplomatique entre l'Italie et la Tunisie, et des envies de mariage de la part de sa compagne Livia. Entre ces deux contrariétés, difficile de dire ce qui cause le plus de soucis au commissaire...
Chez Camilleri, l'écriture tient tout. Elle tisse une comédie souvent tragique, cocktail d'argent sale, de sang et de cocasserie, en bref l'histoire quotidienne de la Sicile. Le Figaro littéraire @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE -
Vigàta, Sicile... Alors qu'ils se rendent à un enterrement, le commissaire Montalbano et l'un de ses hommes emboutissent une Twingo garée près d'une villa. Sous un essuie-glace de la voiture, Montalbano laisse le numéro de téléphone du commissariat. Le soir, le papier étant toujours là, il décide d'aller voir si la villa est habitée. Montalbano y découvre le cadavre d'une jeune femme qui avait beaucoup d'amis, trop de bijoux, et possédait à son insu un violon inestimable.
L'humour et la rage ne seront peut-être pas suffisants pour découvrir un meurtrier retors. Mais le commissaire a d'autres ressources...
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Collectionneurs de croix et fervents dévots, Gregorio Palmisano et sa soeur Caterina se prennent subitement pour le bras vengeur de Dieu. Pour punir les pécheurs de Vigàta, ils les attaquent depuis leur balcon.
N'écoutant que son courage, Montalbano monte à l'assaut et neutralise les fanatiques. Religion et perversion faisant parfois bon ménage, le commissaire découvre que Gregorio partageait sa couche avec une poupée gonflable décatie et rafistolée. Une anecdote sordide dont la presse fait ses choux gras, mais bientôt pour Montalbano un sujet d'interrogation méritant investigation...
Car dans une poubelle est retrouvée une seconde poupée qui sonne le début d'une macabre chasse au trésor...
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C'est un bien étrange rêve de cadavre dans un cercueil qui obsède Montalbano, confronté par ailleurs à une affaire de faux viol et de vrai vol - sans oublier trois terroristes présents dans la campagne environnante.
Somme toute, rien d'inhabituel au commissariat de Vigàta, si une troisième affaire ne venait perturber le commissaire comme jamais : cette fois, il est vraiment amoureux.
Au point qu'il s'apprête à choisir Marian aux dépens de Livia, sa fiancée génoise de toujours. Mais, peu avant qu'il franchisse le cap vers un nouvel avenir, une fusillade éclate dans sa juridiction. La découverte de l'identité d'un des morts va obliger Montalbano à opérer un choix déchirant...
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La première enquête de Montalbano
Andrea Camilleri
- Policier Pocket
- 8 Février 2007
- 9782266166652
Montalbano a le chic pour mettre les pieds dans le plat. Pour sa première enquête en tant que commissaire dans la ville de Vigàta, le hasard a choisi de lui jouer un sale tour. Le voilà confronté, par une déplorable coïncidence, à l'une des deux familles mafieuses qui contrôlent la région. Qu'à cela ne tienne, ce sera l'occasion pour Montalbano de marquer son territoire et de pratiquer son sport favori : faire respecter la loi.
Du Camilleri pur jus, avec un Montalbano certes débutant mais déjà sacrément chevronné.
LiRE @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE -
Plus que jamais, sous le soleil de la Sicile, les apparences sont trompeuses. Les jeunes ingénues peuvent se révéler manipulatrices et les meurtres sordides cacher de plus vastes trafics...
Confronté à son principal ennemi, l'âge qui avance, et à de redoutables tentations - comme la séduisante, et bien-nommée, Laura Belladonna -, Montalbano se trouve ballotté en eaux troubles. Et, cette fois, le dottore qui aimait trop les femmes va devoir garder le cap s'il ne veut pas avoir le sang d'innocents sur les mains.
@ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE -
Tandis que la mafia sévit à Vigàta à coups d'incendie, de fusillade, de disparition, Montalbano rencontre une très séduisante voisine qui semble beaucoup tenir à rendre publique leur liaison.
Ensuite, un mystérieux correspondant joue au chat et à la souris avec le commissaire, et lui tend des pièges qui risquent de lui faire perdre d'abord son honorabilité puis sa vie.
Tiraillé entre le combat contre la corruption qui assaille sa ville et la présence d'une femme fatale, laquelle n'est pas sans rappeler
La Dame de Shanghaï d'Orson Welles, Montalbano se voit entraîné dans un redoutable jeu de miroirs.
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Le brigadier Fazio, pilier du commissariat de Vigàta, a disparu. Montalbano découvre que son homme enquêtait sur des trafics dans le port de pêche avant d'avoir été enlevé. Tandis que l'angoisse croît, une image obsède le commissaire : celle de la danse d'une mouette à l'agonie, qu'il a observée sur la plage.
Fusillades dans un tunnel, tentative d'assassinat dans un hôpital, affrontement avec la mafia, rencontre d'une très jolie et très ambiguë infirmière : pas étonnant que Montalbano en vienne à oublier la présence de Livia, son éternelle fiancée génoise venue lui rendre visite...
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Pas de repos pour les braves : Salvo Montalbano pourrait en faire sa devise. Cette fois, c'est un corps coupé en morceaux qui est retrouvé dans un terrain argileux, non loin de Vigàta. Une scène qui n'est pas sans rappeler les Évangiles et le fameux champ du Potier où fut enterré Judas. Au même moment, la splendide Dolores Alfano signale la disparition de son mari, un officier de marine colombien d'origine sicilienne.
Et pour cette enquête, Montalbano ne pourra compter que sur lui-même : son fidèle adjoint Mimi se comporte de manière de plus en plus étrange et agressive. Serait-il impliqué dans l'affaire ?
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Un cheval battu à mort, gisant sur le sable dans une mare de sang. Voilà ce que découvre un beau matin, devant sa porte, le commissaire Montalbano. Mais le temps de convoquer ses hommes, et la carcasse a disparu, ne laissant pour seul indice qu'une empreinte dans le sable. En compagnie de l'envoûtante Rachele, propriétaire de l'animal, le dottore va suivre cette piste jusqu'au petit monde fermé, et cruel, des courses de chevaux clandestines, où se croisent parieurs, belles amazones et dangereux mafieux...
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Sur les rivages siciliens de Vigàta, la vérité, comme l'eau, prend la forme qu'on lui donne...
La mort d'un politicien estimé semble parfaitement naturelle bien que déshonorante : arrêt cardiaque en galante compagnie dans sa voiture au bord d'un terrain vague. Montalbano n'a que 48 heures pour éclaircir certains détails. Comment la grosse BMW a-t-elle pu emprunter un chemin impraticable ? Que fait un bijou inestimable parmi les détritus de la décharge ? Quels étaient les goûts sexuels de la victime ?
Le commissaire enquête à sa manière d'anarchiste rêveur et bon vivant. Derrière la beauté de son île natale, l'imbécillité, la férocité et, bientôt, l'horreur...
Un pur régal. Michel Abescat - Le Monde @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE Prix Mystère de la critique - 1999 -
Qui voulait la tête d'Angelo Pardo ? Défiguré au gros calibre, ce visage qui plut tant aux femmes ne vaut plus grand-chose. Et cette posture, très équivoque, du cadavre... Plus d'un policier de Vigàta en ricane. Pas Montalbano : les crimes passionnels ne sont pas sa tasse de thé. Entre la soeur du mort, exclusive et sensuelle, et sa maîtresse, féline et envoûtante, le commissaire balance : l'une et l'autre ont suffisamment aimé Pardo pour le détester, ont assez de nerfs pour l'avoir froidement abattu et ne laissent pas Montalbano indifférent. Entre les mains de ces deux femmes, le plus fin limier de Sicile se fait bel et bien balader...
" Dans son style habituel, habité par de savoureuses expressions locales, Camilleri échafaude avec La Lune de papier une intrigue particulièrement complexe. " Jean-Marie Wynants - Le Soir (Belgique) -
Chaque nouvelle enquête sur un crime effroyable attise un peu plus la mélancolie de notre commissaire Montalbano. Ici, le meurtre d'un couple de vieillards de Vigàta, sa ville légendaire, le trouble plus qu'il ne le voudrait. Existe-t-il un lien avec cette autre affaire, l'exécution d'un jeune don juan de village ? Et qu'en est-il du mystère qu'entretient Mimi Angello, son adjoint, autour d'informations soi-disant secrètes ? Pour découvrir la vérité, rien de tel que de longues méditations sous son olivier centenaire, de savoureux déjeuners en compagnie d'un fort joli témoin, et le soutien inconditionnel de son équipe face à la hiérarchie. Reste une question de taille : se résoudra-t-il enfin à épouser Livia, sa fiancée génoise ?
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Il a suffi d'une phrase scabreuse prononcée par sa femme Livia dans son sommeil, pour que Montalbano doute de sa fidélité. Peu après, à la suite d'une étrange série de cambriolages, il fait la rencontre d'Angelica, vivante incarnation de ses rêves d'enfant. Les fantasmagories du commissaire sicilien ne l'aident guère à affronter une machination que nourrit un vieux désir de vengeance. Et dans ce qui semblait d'abord une somnolente enquête, ponctuée de rougets grillés et de promenades en bord de mer, Montalbano ne verra pas venir la violence et la mort. Si le coeur a ses raisons, la vengeance aussi. Sous l'emprise de la passion, Montalbano a trop vite oublié cette règle élémentaire...
@ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE -
Coup dur pour Montalbano, le voilà bon pour une promotion. La faute à sa spectaculaire arrestation de Tano u grecu, le mafieux qui contrôle la prostitution dans toute la Sicile. Le commissaire peut toutefois se consoler avec les confidences du criminel. Elles lui permettent de démanteler un important trafic d'armes et, surtout, lui donnent le plaisir de résoudre une affaire criminelle vieille de cinquante ans.
Salvo Montalbano, le nouveau Maigret italien.
Le Figaro -
Vers 1875, à Vigàta, pour l'inauguration du nouveau théâtre, un préfet indigne la population locale en imposant la représentation d'un obscur opéra, Le Brasseur de Preston. Son obstination de Milanais, représentant d'un État étranger aux déraisons siciliennes, met en branle un enchaînement de passions publiques et privées qui conduit droit au fiasco général.
À travers les orgies du rire et les injustices sociales, d'explosions érotiques en égorgements, on s'achemine vers une fin à l'image même d'une Sicile où la farce, inlassablement, s'accouple à la tragédie.